THERAPEUTE
systémique créative

Formée à l’approche systémique et analytique, à l’art-thérapie et l’hypnose, mon approche s’enrichit également de mon vécu et mes expériences personnelles, et professionnelles dans le champ de l’art, la créativité et l’audiovisuel.
Je travaille en CMPE et reçoit à mon cabinet
Après des études d’Histoire de l’Art, je parcours le monde pendant 15 ans derrière ma caméra en tant que réalisatrice (reportages, documentaires, films musées, web, TV). En 2016, je reprends des études, j’avais 44 ans et c’était le moment pour moi de devenir Thérapeute. J’intègre la formation de Thérapeute familiale systémique auprès de Mony Elkaïm. Puis au Centre des Buttes Chaumont avec Martine Nisse et Pierre Sabourin.
Je me suis tournée vers la thérapie systémique, à travers mon propre vécu et mon parcours thérapeutique personnel. Je suis donc thérapeute systémique et je pratique la psychothérapie. Je ne suis pas psychologue – c’est un choix de formation. L’approche systémique avait tout son sens pour moi. Car elle permet de travailler dans une dynamique de système, de famille ou de groupe, plutôt que dans la stigmatisation d’un seul membre de ce système.
La créativité et l’outil audiovisuel sont devenus tout naturellement mes outils de thérapeute.
Être réalisatrice a été un terrain d’observation précieux. Derrière la caméra, j’ai appris à écouter, à accueillir l’autre, à l’aider à se sentir à l’aise, à mieux se voir et s’entendre. En écho, j’ai aussi beaucoup appris sur moi-même. Ce regard sur l’humain, ses gestes, ses émotions, m’a toujours profondément habitée. Aujourd’hui, je mets cette même qualité de présence et d’écoute au service de l’accompagnement thérapeutique. J’accompagne des personnes dans leur parcours de vie : face à une situation difficile, une transition, ou une envie de mieux se connaître.
Je me suis spécialisée dans l’accompagnement lors de situations de violences intrafamiliales :
violences psychologiques, physiques, sexuelles, inceste… Il est nécessaire de prendre en compte l’impact des violences intrafamiliales sur l’enfant, l’adolescent, adulte en devenir : Notre violence, celle des autres, celle envers nous, celle héritée…
Je travaille en CMPE (centre médico psychologique pour enfants et adolescents) au sein de l’Hôpital Public. J’accompagne des adolescents, en Thérapie familiale et un Groupe.
Je travaille aussi en Cabinet Libéral à Paris. Mon chien peut être présent lors des séances
Mon approche : Pourquoi la thérapie systémique et la créativité !

L’approche systémique permet de travailler dans une dynamique de famille ou de groupe, plutôt que dans la stigmatisation d’un seul membre de ce système. Souvent, les symptômes que nous portons – stress, angoisses, peurs, agressivité, violence, addictions, troubles alimentaires, TOC – sont liés à des déséquilibres dans le système. Elle considère que nous faisons tous partie d’un système (famille, groupe amis..) et que ce système a un impact sur nos vies, nos choix, notre bonheur ou notre mal être. Il est important et utile d’interroger ce système pour mieux comprendre et résoudre les (nos) problématiques, blocages et souffrances. Il s’intéresse également au transgénérationnel, les générations précédentes.
La thérapie systémique aide à comprendre ce qui se répète, parfois inconsciemment, dans nos histoires familiales. Elle met en lumière les blocages et aide à transformer les schémas relationnels qui freinent notre épanouissement.
La thérapie systémique considère que ces situations de crise peuvent être des déclencheurs d’un processus de transformation.
Les comprendre peut aider à sortir d’une situation figée et a changer des comportements inscrits dans nos vies, couples ou familles depuis des générations.
La créativité est un outil et une ressource sur le chemin de la thérapie.
Elle nous permet de dire autrement, d’exprimer l’indicible, de soulager nos souffrances, notre colère, nos émotions, parfois, enfouies depuis l’enfance et d’ouvrir d’autres chemins. Elle aide à mettre des mots sur des maux pour aller mieux, pour les comprendre, et petit à petit les transformer, les surmonter et s’en libérer.
Les ressources sont souvent
déjà là, en nous.
Mais il arrive que la situation soit trop complexe, ou trop douloureuse, pour y faire face seul·e. Parfois la créativité peut ne pas suffire. Il est donc utile de trouver un thérapeute, un professionnel formé, qui puisse nous accompagner à en faire quelque chose. Le ou la thérapeute est là pour éclairer, et soutenir ce processus.
Mon
parcours
Thérapie familiale systémique
Mony Elkaïm Formations : Dr Mony Elkaïm, Edith Goldberter
APRTF, Elida Romano
Thérapie familiale systémique et systémanalytique
Centre Buttes Chaumont : Martine Nisse, Dr Pierre Sabourin
Formée à l’approche systémique adaptée aux situations d’inceste et autre maltraitance
Intervention systémanalytique de réseau.
Centre Buttes Chaumont : Martine Nisse, Dr Pierre Sabourin
TABC (Technique d’Abréaction Bilatérale et Circulaire)
avec Bruno Clavier
Formée à l’Hypnose Technique1, Arche Hypnose, Paris
Licence Histoire de l’Art, Licence LEA. École du Louvre.
QUELQUES REFERENCES
EN MATIERE D’INTERVENTION
2024
CONGRES DE L’EFTA (European family therapy association) – Bordeaux « Violence sexuelles, sortir ensemble du déni » ATELIER CONFERENCE « La créativité, les médias audiovisuels et le chien, comme ressources, au sein d’un groupe thérapeutique « systémanalytique » pour adolescents victimes de violences sexuelles intrafamiliales.»
MEDIAPSY : Cité de la Science et de l’Industrie, Paris – Projection court film « La terreur.. » avec le Groupe d’adolescents du CMPE
SOIREE PROJECTION -DEBAT contre les « Violences conjugales » CHAM Centre Hospitalier de l’Agglomération Montargoise – avec la UMJ (unité médico judiciaire), gendarmerie, police nationale, la Pédopsychiatrie et l’association AVL (aide aux victimes du Loiret)
2023
PRESENTATION DE GROUPE à médiation artistique et médiation animale, pour la prise en charge des adolescents victimes de violences intrafamiliales au CMPE de Montargis.
INTERVENTION D’UNE JOURNEE au Service du CHRS LA PAUSE-ADAE, Centre d’hébergement et de réinsertion. Hébergement d’urgence (femmes seules avec ou sans enfants) – EVREUX – Violences intrafamiliales : du témoignage à la pratique de thérapeute de famille.
INTERVENTION D’UNE JOURNEE au Foyer d’adolescents, Poissy – Maltraitances sexuelles intrafamiliales : reconnaitre l’inceste et protéger l’enfant.
PARTICIPATION A MEDIAPSY : Cité de la Science et de l’Industrie, Paris – Projection court film « Les traits.. » avec le Groupe d’adolescents du CMPE
PARTICIPATION AU FESTIVAL « Sectival, contre les dérives sectaires »
INTERVENTION 43ème Assise Nationales du CNAEMO, Saint Malo – Les violences intrafamiliales : la libération de la parole
INTERVENTION au Forum Rétablissement en santé mentale. Cité de la Science et de l’Industrie, Paris – Créons notre avenir, l’art de se rétablir !
2021
INTERVENTION JOURNEE D’ETUDE CNAPE Normandie 2021 – L’enfant face à la violence intrafamiliale : Quelles conséquences, quelles perspectives
Le cabinet et séances

75011 Paris
Le rythme est défini ensemble selon vos besoins.
Lors des séances, nous co-construisons un espace de confiance. À partir de vos histoires, de vos émotions et de vos ressentis. Dans cet espace de sécurité, il devient possible de travailler sur les fragilités, les ressources, et les forces.
Quand cela fait sens, je peux proposer d’intégrer des médiations créatives : écriture, dessin, photo, vidéo… Pour moi, la créativité est une ressource thérapeutique puissante. Elle nous permet de dire autrement, d’exprimer l’indicible, de soulager nos souffrances, d’ouvrir d’autres chemins..
Les séances au cabinet
- Individuels
- En couple
- En famille
- En groupe (à venir)
Mon engagement et expertise : Les violences intrafamiliales
La violence est pour moi, un sujet clef du mal être individuel et collectif.
Et souvent la violence commence chez soi, en soi, dans nos familles. Ces violences intrafamiliales : psychologiques, physiques, sexuelles, inceste…notre violence, celle des autres, celle envers nous, celle héritée… longtemps tues, parfois transmises inconsciemment de génération en génération ont des effets néfastes et durables. Car, même si on fait tout pour ne pas les reproduire, elles peuvent se rejouer sous d’autres formes si elles ne sont pas regardées.
La violence a plusieurs visages et elle ne se résume pas à « victime et agresseur ». C’est tout un système dysfonctionnel. Par mon propre vécu, il me semble nécessaire de la nommer, d’en prendre conscience et de comprendre certains mécanismes et comportements pour les modifier, arrêter, s’en libérer, et surtout pour ne pas les répéter et les transmettre aux prochaines générations.
L’impact et les conséquences post-traumatiques des violences intrafamiliales sur l’enfant, l’adolescent, adulte en devenir sont encore trop négligés par la société toute entière, même au sein du corps médical. Il me semble nécessaire de former les professionnels à une meilleure prise en charge des victimes et auteurs de violence.
En 2020, j’ai créé l’association Ce que je vois, pour porter un projet de sensibilisation et prévention aux violences intrafamiliales : Récits d’enfance. Ensemble prendre conscience que la violence commence chez soi
et en soi. L’association produit des courts films et recueille des témoignages utilisés dans des contextes thérapeutiques et de formation.
Une trajectoire personnelle
Bio à 4h du matin:
Ma vie, mon enfance
J’ai grandi au soleil de Barcelona. L’horizon toujours présent. J’adorais la plage en hiver. Les apéros espagnols qui ne finissent pas et écouter les adultes discuter pendant des heures sur la nouvelle Espagne et la nouvelle Catalogne. Je me rappelle aussi des balades avec mon père et Flash notre gros chien au Parque Güell, à l’époque complètement à l’abandon. J’aimais observer autour de moi. Nous sommes dans les années 80 en pleine transition démocratique après la mort de Franco.
J’étais un enfant myope, le flou n’était pas une erreur pour moi, mais ma façon de voir et de percevoir le monde.
De loin les couleurs se mélangeaient, la mer se fondait dans le ciel, les gens devenaient des formes qui bougeaient dans le paysage. Quand on est myope, et que l’on ne porte pas de lunettes, on reconnait les gens par leurs mouvements, leurs gestes. On pose notre regard sur le sujet et on le fixe. Pour mieux voir, on fronce les sourcils comme si on était en colère. Mais non, c’est le cerveau qui essaye de faire le point.
Je me rappelle aussi des disputes de mes parents et de leur amour fou, qui a marqué ma vie. Comme disait Antonio Machado : « Ni avec toi ni sans toi, sans toi car je meurs, avec toi car tu me tues. ». Ma vie s’est construite ainsi. Et puis des fois cela m’arrangeait de ne pas voir net, dans le flou c’est toujours plus facile d’imaginer un autre monde meilleur…
Aujourd’hui j’essaye aussi de faire le point.
Mes yeux sont l’objectif, le cerveau ma caméra et la ride entre mes yeux la marque de tout ce que j’ai vécu. Mais avant l’image, ce qui m’intéresse est tout ce qui se passe autour de l’image : Énergies, synergie entre deux êtres, émotions, je ne saurais pas expliquer ce que je cherche. C’est quelque chose que je ne vois même pas quand je filme, mais que je découvre après dans mon écran quand je regarde les images. Et comme ça, parfois, c’est là. J’écris avec les images les émotions que mon cerveau reçoit.
Mon regard s’est affûté avec la caméra. Elle est devenue une extension de moi, comme le bâton d’écriture sur le sable quand j’étais enfant. Ce que je filme, ce sont des instants vrais, des émotions. Et ce regard-là, je le retrouve dans ma pratique thérapeutique : attentionnée, intuitive, sensible
Association – Prévention et sensibilisation aux violences intrafamiliales.
Ensemble prendre conscience que la violence commence chez soi et en soi.

Qui suis-je ? De la créativité à la créativité dans l’accompagnement thérapeutique
Formée à l’approche systémique et analytique, à l’art-thérapie et l’hypnose, mon approche s’enrichit également de mon vécu et mes expériences personnelles, et professionnelles dans le champ de l’art, la créativité et l’audiovisuel.
Après des études d’Histoire de l’Art, je parcours le monde pendant 15 ans derrière ma caméra en tant que réalisatrice (reportages, documentaires, films musées, web, TV). En 2016, je reprends des études, j’avais 44 ans et c’était le moment pour moi de devenir Thérapeute. J’intègre la formation de Thérapeute familiale systémique auprès de Mony Elkaïm. Puis au Centre des Buttes Chaumont avec Martine Nisse et Pierre Sabourin.
Je me suis tournée vers la thérapie systémique, à travers mon propre vécu et mon parcours thérapeutique personnel. Je suis donc thérapeute systémique et je pratique la psychothérapie. Je ne suis pas psychologue – c’est un choix de formation. L’approche systémique avait tout son sens pour moi. Car elle permet de travailler dans une dynamique de système, de famille ou de groupe, plutôt que dans la stigmatisation d’un seul membre de ce système.
La créativité et l’outil audiovisuel sont devenus tout naturellement mes outils de thérapeute.
Être réalisatrice a été un terrain d’observation précieux. Derrière la caméra, j’ai appris à écouter, à accueillir l’autre, à l’aider à se sentir à l’aise, à mieux se voir et s’entendre. En écho, j’ai aussi beaucoup appris sur moi-même. Ce regard sur l’humain, ses gestes, ses émotions, m’a toujours profondément habitée. Aujourd’hui, je mets cette même qualité de présence et d’écoute au service de l’accompagnement thérapeutique. J’accompagne des personnes dans leur parcours de vie : face à une situation difficile, une transition, ou une envie de mieux se connaître.
Je me suis spécialisée dans l’accompagnement lors de situations de violences intrafamiliales :
violences psychologiques, physiques, sexuelles, inceste… Il est nécessaire de prendre en compte l’impact des violences intrafamiliales sur l’enfant, l’adolescent, adulte en devenir : Notre violence, celle des autres, celle envers nous, celle héritée…
Je travaille en CMPE (centre médico psychologique pour enfants et adolescents) au sein de l’Hôpital Public. J’accompagne des adolescents, en Thérapie familiale et un Groupe.
Je travaille aussi en Cabinet Libéral à Paris. Mon chien peut être présent lors des séances
Mon approche : Pourquoi la thérapie systémique et la créativité !

L’approche systémique permet de travailler dans une dynamique de famille ou de groupe, plutôt que dans la stigmatisation d’un seul membre de ce système. Souvent, les symptômes que nous portons – stress, angoisses, peurs, agressivité, violence, addictions, troubles alimentaires, TOC – sont liés à des déséquilibres dans le système. Elle considère que nous faisons tous partie d’un système (famille, groupe amis..) et que ce système a un impact sur nos vies, nos choix, notre bonheur ou notre mal être. Il est important et utile d’interroger ce système pour mieux comprendre et résoudre les (nos) problématiques, blocages et souffrances. Il s’intéresse également au transgénérationnel, les générations précédentes.
La thérapie systémique aide à comprendre ce qui se répète, parfois inconsciemment, dans nos histoires familiales. Elle met en lumière les blocages et aide à transformer les schémas relationnels qui freinent notre épanouissement.
La thérapie systémique considère que ces situations de crise peuvent être des déclencheurs d’un processus de transformation.
Les comprendre peut aider à sortir d’une situation figée et a changer des comportements inscrits dans nos vies, couples ou familles depuis des générations.
La créativité est un outil et une ressource sur le chemin de la thérapie.
Elle nous permet de dire autrement, d’exprimer l’indicible, de soulager nos souffrances, notre colère, nos émotions, parfois, enfouies depuis l’enfance et d’ouvrir d’autres chemins. Elle aide à mettre des mots sur des maux pour aller mieux, pour les comprendre, et petit à petit les transformer, les surmonter et s’en libérer.
Les ressources sont souvent
déjà là, en nous.
Mais il arrive que la situation soit trop complexe, ou trop douloureuse, pour y faire face seul·e. Parfois la créativité peut ne pas suffire. Il est donc utile de trouver un thérapeute, un professionnel formé, qui puisse nous accompagner à en faire quelque chose. Le ou la thérapeute est là pour éclairer, et soutenir ce processus.
Mon
parcours
Thérapie familiale systémique
Mony Elkaïm Formations : Dr Mony Elkaïm, Edith Goldberter
APRTF, Elida Romano
Thérapie familiale systémique et systémanalytique
Centre Buttes Chaumont : Martine Nisse, Dr Pierre Sabourin
Formée à l’approche systémique adaptée aux situations d’inceste et autre maltraitance
Intervention systémanalytique de réseau.
Centre Buttes Chaumont : Martine Nisse, Dr Pierre Sabourin
TABC (Technique d’Abréaction Bilatérale et Circulaire)
avec Bruno Clavier
Formée à l’Hypnose Technique1, Arche Hypnose, Paris
Licence Histoire de l’Art, Licence LEA. École du Louvre.
QUELQUES REFERENCES
EN MATIERE D’INTERVENTION
2024
CONGRES DE L’EFTA (European family therapy association) – Bordeaux « Violence sexuelles, sortir ensemble du déni » ATELIER CONFERENCE « La créativité, les médias audiovisuels et le chien, comme ressources, au sein d’un groupe thérapeutique « systémanalytique » pour adolescents victimes de violences sexuelles intrafamiliales.»
MEDIAPSY : Cité de la Science et de l’Industrie, Paris – Projection court film « La terreur.. » avec le Groupe d’adolescents du CMPE
SOIREE PROJECTION -DEBAT contre les « Violences conjugales » CHAM Centre Hospitalier de l’Agglomération Montargoise – avec la UMJ (unité médico judiciaire), gendarmerie, police nationale, la Pédopsychiatrie et l’association AVL (aide aux victimes du Loiret)
2023
PRESENTATION DE GROUPE à médiation artistique et médiation animale, pour la prise en charge des adolescents victimes de violences intrafamiliales au CMPE de Montargis.
INTERVENTION D’UNE JOURNEE au Service du CHRS LA PAUSE-ADAE, Centre d’hébergement et de réinsertion. Hébergement d’urgence (femmes seules avec ou sans enfants) – EVREUX – Violences intrafamiliales : du témoignage à la pratique de thérapeute de famille.
INTERVENTION D’UNE JOURNEE au Foyer d’adolescents, Poissy – Maltraitances sexuelles intrafamiliales : reconnaitre l’inceste et protéger l’enfant.
PARTICIPATION A MEDIAPSY : Cité de la Science et de l’Industrie, Paris – Projection court film « Les traits.. » avec le Groupe d’adolescents du CMPE
PARTICIPATION AU FESTIVAL « Sectival, contre les dérives sectaires »
INTERVENTION 43ème Assise Nationales du CNAEMO, Saint Malo – Les violences intrafamiliales : la libération de la parole
INTERVENTION au Forum Rétablissement en santé mentale. Cité de la Science et de l’Industrie, Paris – Créons notre avenir, l’art de se rétablir !
2021
INTERVENTION JOURNEE D’ETUDE CNAPE Normandie 2021 – L’enfant face à la violence intrafamiliale : Quelles conséquences, quelles perspectives
Le cabinet et séances

75011 Paris
Le rythme est défini ensemble selon vos besoins.
Lors des séances, nous co-construisons un espace de confiance. À partir de vos histoires, de vos émotions et de vos ressentis. Dans cet espace de sécurité, il devient possible de travailler sur les fragilités, les ressources, et les forces.
Quand cela fait sens, je peux proposer d’intégrer des médiations créatives : écriture, dessin, photo, vidéo… Pour moi, la créativité est une ressource thérapeutique puissante. Elle nous permet de dire autrement, d’exprimer l’indicible, de soulager nos souffrances, d’ouvrir d’autres chemins..
Les séances au cabinet
- Individuels
- En couple
- En famille
- En groupe (à venir)
Mon engagement et expertise : Les violences intrafamiliales
La violence est pour moi, un sujet clef du mal être individuel et collectif.
Et souvent la violence commence chez soi, en soi, dans nos familles. Ces violences intrafamiliales : psychologiques, physiques, sexuelles, inceste…notre violence, celle des autres, celle envers nous, celle héritée… longtemps tues, parfois transmises inconsciemment de génération en génération ont des effets néfastes et durables. Car, même si on fait tout pour ne pas les reproduire, elles peuvent se rejouer sous d’autres formes si elles ne sont pas regardées.
La violence a plusieurs visages et elle ne se résume pas à « victime et agresseur ». C’est tout un système dysfonctionnel. Par mon propre vécu, il me semble nécessaire de la nommer, d’en prendre conscience et de comprendre certains mécanismes et comportements pour les modifier, arrêter, s’en libérer, et surtout pour ne pas les répéter et les transmettre aux prochaines générations.
L’impact et les conséquences post-traumatiques des violences intrafamiliales sur l’enfant, l’adolescent, adulte en devenir sont encore trop négligés par la société toute entière, même au sein du corps médical. Il me semble nécessaire de former les professionnels à une meilleure prise en charge des victimes et auteurs de violence.
En 2020, j’ai créé l’association Ce que je vois, pour porter un projet de sensibilisation et prévention aux violences intrafamiliales : Récits d’enfance. Ensemble prendre conscience que la violence commence chez soi
et en soi. L’association produit des courts films et recueille des témoignages utilisés dans des contextes thérapeutiques et de formation.
Une trajectoire personnelle
Bio à 4h du matin:
Ma vie, mon enfance
J’ai grandi au soleil de Barcelona. L’horizon toujours présent. J’adorais la plage en hiver. Les apéros espagnols qui ne finissent pas et écouter les adultes discuter pendant des heures sur la nouvelle Espagne et la nouvelle Catalogne. Je me rappelle aussi des balades avec mon père et Flash notre gros chien au Parque Güell, à l’époque complètement à l’abandon. J’aimais observer autour de moi. Nous sommes dans les années 80 en pleine transition démocratique après la mort de Franco.
J’étais un enfant myope, le flou n’était pas une erreur pour moi, mais ma façon de voir et de percevoir le monde.
De loin les couleurs se mélangeaient, la mer se fondait dans le ciel, les gens devenaient des formes qui bougeaient dans le paysage. Quand on est myope, et que l’on ne porte pas de lunettes, on reconnait les gens par leurs mouvements, leurs gestes. On pose notre regard sur le sujet et on le fixe. Pour mieux voir, on fronce les sourcils comme si on était en colère. Mais non, c’est le cerveau qui essaye de faire le point.
Je me rappelle aussi des disputes de mes parents et de leur amour fou, qui a marqué ma vie. Comme disait Antonio Machado : « Ni avec toi ni sans toi, sans toi car je meurs, avec toi car tu me tues. ». Ma vie s’est construite ainsi. Et puis des fois cela m’arrangeait de ne pas voir net, dans le flou c’est toujours plus facile d’imaginer un autre monde meilleur…
Aujourd’hui j’essaye aussi de faire le point.
Mes yeux sont l’objectif, le cerveau ma caméra et la ride entre mes yeux la marque de tout ce que j’ai vécu. Mais avant l’image, ce qui m’intéresse est tout ce qui se passe autour de l’image : Énergies, synergie entre deux êtres, émotions, je ne saurais pas expliquer ce que je cherche. C’est quelque chose que je ne vois même pas quand je filme, mais que je découvre après dans mon écran quand je regarde les images. Et comme ça, parfois, c’est là. J’écris avec les images les émotions que mon cerveau reçoit.
Mon regard s’est affûté avec la caméra. Elle est devenue une extension de moi, comme le bâton d’écriture sur le sable quand j’étais enfant. Ce que je filme, ce sont des instants vrais, des émotions. Et ce regard-là, je le retrouve dans ma pratique thérapeutique : attentionnée, intuitive, sensible